Qu’est ce qu’un vélo écologique ?

Réchauffement climatique, congestion urbaine, crise économique… Nombreux sont ceux qui prétendent que le vélo, considéré jusqu’à hier comme un moyen de transport dépassé, est réapparu dans le paysage urbain. La jeune génération, généralement moins dépendante de la voiture, commence à choisir un vélo comme une réponse appropriée aux enjeux de mobilité de la ville.

Qu’est-ce qu’un vélo écologique?

Alternative idéale aux véhicules personnels, les vélos de ville électriques réduisent l’empreinte carbone et facilitent les déplacements urbains quotidiens. Dans cet éco-vélo, le cycliste est propulsé par un moteur électrique et peut parcourir des distances moyennes. Le moteur de vélo électrique génère l’énergie nécessaire pour mouvoir le vélo vers l’avant. C’est le cycliste qui démarre le moteur en pédalant. Effectivement, sous l’influence du mouvement de la pédale, le capteur expédie un signal électrique au contrôleur pour ouvrir la vanne entre la batterie et le moteur.

Tous les vélos électriques sont un choix écologique parfait pour les trajets de courte et moyenne distance. Ils respectent l’environnement et améliorent le confort de vie de l’utilisateur, parfaitement écologiques, notamment en ce qui concerne la batterie et son recyclage, des innovations sont en cours et on peut donc s’attendre à ce que le vélo écologique à part entière voit le jour. Vous trouverez la gamme d’accessoire vélo sur le site velo-ecolo.com.

Les impacts positifs du vélo électrique

Lors de leur utilisation, de leur fabrication ou lorsqu’ils sont en fin de vie, les objets émettent des GES plus connus sous le nom de gaz à effet de serre. L’étude de la Fédération Européenne des Cyclistes examine le bilan carbone du vélo mécanique, le bus, le VAE, et le véhicule particulier pour un même trajet:

  • Les diffusions de CO2 du VAE sont évaluées à peu près 16 g CO2e/km (7 g pour la maintenance et la production, et 9 g reliés à la production de l’électricité).
  • Les diffusions de GES dégagées par le « carburant » du cycliste sont de 6 g CO2e/km;
  • Les VAE dispersent ainsi environ 22 g CO2e/km, c’est-à-dire une valeur proche de celle de la bicyclette mécanique (21 g CO2e/km) contre à peu près 271 g CO2e par passager-km pour une voiture;

De plus, les batteries de bicyclette électrique sont inventées sans plomb, matériau funeste pour l’environnement, cela n’est pas les cas de batterie d’autre véhicule. De plus, en fin de vie, les bicyclettes écologiques sont recyclées et non incinérées. L’utilisation d’un VAE restreint la pollution ambiante et sonore en permettant de déboucher les grands axes routiers et de fluidifier le trafic.

Le vélo écolocyclisme responsable électrique parait ainsi être parmi les véhicules motorisés plus efficaces afin de préserver l’environnement.

Des innovations à entrevoir pour la batterie des VAE

Les VAE d’aujourd’hui utilisent la batterie au lithium-ion qui a des effets indirects et directs sur l’environnement. Effectivement, la longévité de la batterie résultera du poids du cycliste et du moteur utilisé. Or, les batteries au lithium-ion ne sont pas récupérables en raison de la complexité des composants.

Aussi, l’usage de ce genre de batterie a un impact direct sur les consommations du foyer : si beaucoup de vélos électriques sont en même temps branchés, la consommation électrique accroît d’autant, ce qui occasionne donc une production étendue de l’électricité et pollue de manière indirecte. En effet, pour répondre à la forte demande en électricité, les centrales électriques ont tendance à utiliser encore plus de ressources polluantes comme le charbon ou le pétrole.

Pourtant, il existe plusieurs choix avec des risques moins importants pour l’environnement et une longévité plus élevée. Par exemple, la batterie sodium-ion est la batterie non compacte qui peut se servir pour le vélo électrique. Celle-ci se recharge dix fois plus vite que la batterie sodium-ion traditionnel et a une longévité plus élevée.

 

 

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